Pas mal bonne cette allégorie en caricatures. Ce qui est nul à chier dans ce débat d'argent qui risque de retomber sur les épaules des étudiants, c'est lorsqu'un administrateur, sous le couvert de l'anonnymat, nous apprend que pour la seule année 2011 l'Université de Montréal a détourné 68 millions du poste de formation au poste d'immobilisations ce qui est contraire aux directives du gouvernement. Ce qui est nul à chier, c'est de bâtir une centrale inutilisée à Bécancour, qui à date a englouti plus de 500 millions payé en redevances à la compagnie albertaine. À échéance de sa vie durable nous dépenserons collectivement 2 milliards en pur perte, sacrament pour s't'ostie d'centrale! Il y a juste dans cette somme de quoi tout couvrir des hausses prévues à l'admission universitaire.
On coupe dans les besoins essentiels pour sauvegarder le servage moderne. Nos richesses collectives sont sous le contrôle d'une poignée de voleurs sans scrupules qui sucent nos énergies et sapent nos forces. Ce temps-là s'achève. La rue est en ébullition...
Génial !
RépondreEffacerPas mal bonne cette allégorie en caricatures. Ce qui est nul à chier dans ce débat d'argent qui risque de retomber sur les épaules des étudiants, c'est lorsqu'un administrateur, sous le couvert de l'anonnymat, nous apprend que pour la seule année 2011 l'Université de Montréal a détourné 68 millions du poste de formation au poste d'immobilisations ce qui est contraire aux directives du gouvernement.
RépondreEffacerCe qui est nul à chier, c'est de bâtir une centrale inutilisée à Bécancour, qui à date a englouti plus de 500 millions payé en redevances à la compagnie albertaine. À échéance de sa vie durable nous dépenserons collectivement 2 milliards en pur perte, sacrament pour s't'ostie d'centrale! Il y a juste dans cette somme de quoi tout couvrir des hausses prévues à l'admission universitaire.
On coupe dans les besoins essentiels pour sauvegarder le servage moderne. Nos richesses collectives sont sous le contrôle d'une poignée de voleurs sans scrupules qui sucent nos énergies et sapent nos forces. Ce temps-là s'achève. La rue est en ébullition...
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