Je ne dispose malheureusement pas de tout le temps dont j'aurais besoin pour écrire. Je m'installe devant mon portable, avec le sentiment que je vais vous sortir une bonne histoire, que je me surprends à hurler de rage devant les mises à jour qui s'emparent de mon outil de travail pour remettre à plus tard ce qui ne pouvait pas attendre.
Les mises à jour comportent plus de 150 Mégabits. Cela signifie que mon portable ne sera pas disponible avant une demie heure. J'emprunte donc le portable de ma blonde. J'installe ma souris parce que je déteste travailler sans elle. Le logiciel de la souris se télécharge automatiquement dès que je la rentre dans le port USB. Cependant le système d'exploitation du portable me conseille de cliquer sur tel ou tel centre de maintenance pour cette satanée souris. Ce que je fais et cela entraîne, évidemment, un autre téléchargement...
Je regarde le temps passé. Ma demie heure d'écriture disponible s'est déjà écoulée. C'est déjà le temps de fermer le portable pour me rendre au travail.
Et moi qui voulais vous parler de La Scouine, de Albert Laberge, des originaux et détraqués de Louis Fréchette, des dicts du passant de Louis-Georges Godin, des diableries de Mikhaïl Boulgakov, de l'Hôtel de Ville de Trois-Rivières qui oublie que dans la maxime romaine du pain et des jeux, panem et circenses, il y a le mot pain, et pas seulement le mot jeux...
Je dépasse ma demie heure avec la rage au coeur. Je n'ai pas pu sortir tout ce que j'avais en tête compte tenu de ces maudites mises à jour et de cette technologie de merde qui semblent me renvoyer aux années '80, à l'époque où l'on s'extasiait de dessiner un carré rouge avec un Vic-20...
si l ' ordi de ta femme te " conseille " de faire une mise à jour pour ta souris , ne la fais pas - Il suffit d ' attendre 1 mn ou deux , et l ' ordi finit par la reconnaître -
RépondreEffacerJ’espère que tu vas trouver le moyen de te reprendre parce que "La Scouine, de Albert Laberge, les originaux et détraqués de Louis Fréchette, les dicts du passant de Louis-Georges Godin, les diableries de Mikhaïl Boulgakov, l'Hôtel de Ville de Trois-Rivières qui oublie que dans la maxime romaine du pain et des jeux, panem et circenses, il y a le mot pain, et pas seulement le mot jeux...", comme combinaison, ça me paraît un méchant – et truculent – programme!:)
RépondreEffacerMonde indien, je savais pour la souris... enfin presque. J'obéis à toute demande bienveillante de Windows 7...
RépondreEffacer***
Le plumitif, je promets de revenir à ce programme d'ici la fin de la semaine.