mercredi 8 août 2012

Summertime and the living is not that easy...

C'est l'été. C'est même un très bel été. La sécheresse semble passée. Les oiseaux chantent. La vie reprend après la pluie. C'est l'été et c'est simplement merveilleux.

J'en veux aux libéraux de le gâcher en nous crissant en campagne électorale.

On ne choisit pas son champ de bataille. C'est Jean Charest qui le choisit. Il a choisi l'été pour ne pas avoir à faire face à des bains de foule. Pour pouvoir se cacher dans des trous reculés, loin de la canaille et de la populace... Hum du bon blé d'Inde... des bons hot-dogs...

Je lui en veux de vendre mon pays pour mille fois rien. De mentir jour après jour. De défendre l'indéfendable: l'État policier, le matraquage de son propre peuple, le pillage de nos ressources naturelles, alouette je te plumerai!

Je lui en veux d'avoir à écrire ceci le 8 août 2012  plutôt que de me concentrer sur la nature, sur la quiétude d'un moment d'incivilisation...

Un vote libéral c'est un vote pour le chaos social.

C'est un vote qui gâche non seulement l'été, mais toutes les autres saisons.

2 commentaires:

  1. "One of these mornings
    You're going to rise up singing
    Then you'll spread your wings
    And you'll take to the sky"

    Plus qu'à espérer que ce couplet se réalise pour tous, un matin de Septembre. "But till that morning..." ça va prendre une méchante cohésion sociale pour se débarrasser de cet enfant de chienne qui encule et fait reculer le Québec comme jamais auparavant.

    RépondreEffacer
  2. Je serais surpris qu'il augmente son score, ce Johnny-James-la-matraque. Je connais plein d'anciens voteurs libéraux qui ressentent un malaise à voter pour l'indéfendable.

    RépondreEffacer