Il est facile de tenir des propos bucoliques depuis samedi dernier. L'hiver est finalement parti. La peau s'expose enfin au soleil, comme les pousses, les bourgeons et les pissenlits.
Que l'on soit en forêt ou bien au centre-ville, tout n'est que chansons et gazouillements.
On se sent revivre. On se surprend à rêver.
C'est le temps des fleurs.
On ignore la peur.
Les lendemains ont un goût de miel...
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Trifluviens, Trifluviennes, the summer of Love might coming back...
Que c'est joli d'être "Trifluvien",moi je suis "aturine" et comment deviner qu'il s'agit du fleuve Adour?
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