Le bois a cette particularité de mieux absorber la peinture et le vernis. Autrement dit, ça sèche plus vite. Ne serait-ce que pour cette raison, j'adore peindre sur le bois. Le hic c'est sa pesanteur. La toile montée sur un cadre de bois ça pèse trois fois rien. La peinture sur bois nécessite des points d'ancrage beaucoup plus solides.
Cela dit, je viens de terminer une peinture sur bois. Le format est de 16 X 36 pouces si je ne m'abuse. Je n'ai pas sorti mon pied royal mais je ne dois pas me tenir loin du compte.
Ce tableau aux allures champêtres s'intitule Petit matin de pêche sous un ciel touffu. Ce titre ne convient peut-être pas mais c'est tout ce qui me vient à l'esprit.
Je termine aussi une grande toile qui se veut un souvenir de la mer. Si tout se passe bien, vous devriez la voir sur mon blogue d'ici les prochaines vingt-quatre heures.
Je vais ensuite revisiter les thèmes des ruelles, des cordes à linge et de la vie de quartier. Des thèmes qui sont fortement en demande chez ceux qui apprécient mon oeuvre.
Je mentionne, au passage. que je travaille toujours sans faire usage de photographies. J'explore ma mémoire et l'oblige à se rappeler tous ces menus détails qui apparaissent dans mes tableaux. C'est ce qui confère ce soupçon d'originalité à ce que je peins. On peut imiter une photo. On peut rarement imiter un souvenir.
C'est à peu près tout ce que j'ai à dire pour le moment.
Pardonnez-moi de retourner illico vers mes pinceaux.
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