Marc Cassivi a finement réagi à Pierre Elvis Falardeau ce matin, dans La Presse.
Il y a des limites à être cave et raciste. Il y a des limites à voir l'intelligentsia francophone se taire sur Falardeau, comme si c'était acceptable d'être cave et raciste.
À la différence de Cassivi, je ne suis pas souverainiste. Ni fédéraliste. Juste humaniste. Et ça me dégoûte de le voir dénigrer les Anglais et maintenant les Japonais depuis des années, en crissant quelques tabarnaks au travers pour faire épais et peuple. Peuple mon cul! Le peuple ne lit pas En lutte! et c'est tant mieux, ciboire. Le peuple est moins cave, hostie.
J'ai toujours pensé que Falardeau aurait pu faire des oeuvres d'art au lieu de faire de la propagande pour ses ressentiments historiques, tout ça financé par Téléfilm Canada, maudite organisation impérialiste quenédienne! Pas pire pays, ce pays qui finance son opposition...
Franchement, il dérape et Cassivi le remet à sa place d'aplomb.
Le mieux que pourrait faire Falardeau, dans ce contexte, c'est soit de s'excuser ou soit de rester cave.
La revue Ici devrait aussi revoir ce qu'elle publie. Je ne savais pas que la politique éditoriale englobait la publication de rots ultranationalistes stupides. Il y a des lois pour ça. Me semble.
Une chanson pour Pierre.
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