mardi 17 avril 2007

Vive le pissenlit 2

J’ai terminé mon blogue sur une question à laquelle je me ferai un point d’honneur de répondre aujourd’hui.
Ce n’est pas une nouvelle. Le monde n’a rien à faire de cette affirmation : le pissenlit est ma fleur préférée… Il faut des tragédies, des pleurs et des grincements de dents pour faire une nouvelle. Ou bien une volonté faustienne de plonger tout un chacun dans une fournaise de glaives, pour parler politique plus ou moins calmement, entre deux brûlures et quelques coups d’épées.
C’est justement parce que ce n’est pas une nouvelle que j’ai envie de parler de ma fleur préférée, une fleur banale produite par un plant qui pousse comme du chiendent et qui est souvent considéré comme tel. Le pissenlit est ma fleur préférée pour toutes ses raisons, évidemment, mais aussi parce que c’est la première fleur du printemps que l’on puisse contempler dans les faubourgs ouvriers. Le pissenlit pousse n’importe où, dans la fente d’un trottoir ou sur un toit. Il ne lui suffit que d’un peu de sable et de poussière pour proliférer.
Bientôt, toutes les pelouses et tous les bouts de trottoirs seront jaunes de pissenlits. Et je vous avouerai, à regarder la température maussade d’aujourd’hui, que j’ai bien hâte!
Pour en savoir plus sur le pissenlit , un article sérieux de Lynn Jones traduit en français pour votre bon plaisir :


http://www.naturewatch.ca/francais/plantwatch/dandelion/Pissenlits_articles_02.pdf

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