lundi 15 juin 2009

POURVOU QUE ÇA DOURE!

Le bonheur, c'est con, mais personne ne sait vraiment en parler. Tous ceux et celles qui en parlent ont généralement l'air con. Et je ne parle même pas de ce qui s'écrit à son sujet, ce qui ne vaut guère mieux. Quand Sénèque et Marc-Aurèle traitent du bonheur, je manque d'épithètes pour me gausser de ces simulateurs d'Épictète.

Donc, je ne parlerai pas du bonheur.

Je ne vous dirai pas comment l'atteindre.

Comment faire.

Quoi faire.

Que faire.

Que dalle.

Je ne dirai rien du tout.

Un état d'âme, ça ne se décrit pas. Ça se joue sur une guitare. Ou bien ça se dessine. Mais ça se passe de descriptions et de définitions.

Donc, donc, doncques, c'est le bonheur.

«Pourvou que ça doure!», comme disait la chère maman de Napoleone Buonaparte, un type qui buvait du café corsé.


***
POST-SCRIPTUM

Un article sur Doum Laroche, un bassiste trifluvien qui fait son grand bonhomme de chemin. Ça m'a été transmis par mon pote bassiste, Benoît, le même qui joue sur cette chanson-ci.

5 commentaires:

  1. LE bonheur c'est de voir tes petits dessins Gaétan. Ita est !

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  2. Pourquoi être heureux quand on peut facilement être malheureux, hein?

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  3. bin oui ! C'est comme le vieil adage : pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué !!!

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  4. Parce que c'est vachement plus cool!

    Et comme le dit ce vieux dicton:

    Vaux mieux être riche, en santé et heureux que pauvre, malade et malheureux!!!

    Ciao, ciao!

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  5. le bonheur, c'est bien tranquille.
    ché pas pourquoi je me marre.
    quand je pense à quel point on peut être con des fois. puis je pense à une baillonette, aussi, mais je me demande ce qu'elle fout là... elle rentre dans du gras de bide... un peu comme là ou je me pique l'insuline. puis ces types qui s'enfoncent ces grosses barres en fer dans les joues...
    je respire, envie de fromage. un petit creu.
    bonne journée

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