mardi 15 janvier 2008

TRUDEAU ÉTAIT UN ESPRIT INDÉPENDANT

Pauline Marois se met à la suite du Lidor Maximo Gérald Larose pour annoncer l'indépendance à la pièce, sans référendum, si le PQ venait à se faire élire.
Bon, qu'est-ce qu'ils ont encore à délirer ceux-là?
Au fait, parlent-ils anglais?
Je préfère de loin le socialisme au nationalisme, même si ma tête se refuse d'adhérer à quelque doctrine que ce soit.
Le plus grand socialiste québécois, à mon avis, c'était Pierre Eliot-Trudeau.
Je m'ennuie de l'époque où Trudeau pagayait sur l'eau paisible d'un lac en nous présentant sa vision généreuse et foncièrement vraie du Canada.
C'est parce qu'il était socialiste que Trudeau s'opposait fermement au nationalisme, une perversion intellectuelle qui a donné naissance à des guerres et à des génocides au vingtième siècle.
John Lennon n'a-t-il pas déclaré que s'il y avait plus de gens comme Trudeau, ce serait la paix sur la Terre? Ok, je vous concède que Lennon était peut-être gelé tight. Ça se pourrait.
Pourtant, je m'ennuie de Trudeau.
C'était le plus grand.
C'était le meilleur.
Je vous défie de me prouver le contraire.
Ce n'est pas de l'indépendance nationale que les Québécois ont besoin, mais de l'indépendance d'esprit.
Elle se fait de moins en moins rare, heureusement.
Mme Marois et M. Larose vont en découdre avec les blogueurs, croyez-moi.

2 commentaires:

  1. Pauvre imbécile! Trudeau était un un nationaliste canadian anti-américain primaire qui rêvait de faire du Canada un Cuba du Nord .

    http://www.quebecoislibre.org/000930-2.htm

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  2. Je suis pas sûr que nous nous rendons compte des catastrophes que nous préparons. En ce sens, le nationalisme c'est une préparation. Le nationalisme c'est toujours la haine des « autres », à peine visible, un peu comme le magma sous l'écorce terrestre qui n'a besoin que d'une brèche pour s'écouler à la surface. Trudeau, était très doué dans le colmatage de brèches sociales.

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