Vers la fin du XIXe siècle on assista en Europe et même aux États-Unis à une vague d'attentats commis par ce qu'on pourrait appeler des "loups solitaires". Qu'ils soient nationalistes, anarchistes ou ultraroyalistes, on en trouvait dans toutes les idéologies pour aller se faire exploser avec une bombe ça et là.
On a vu l'histoire se répéter souvent depuis.
Y'a cet enragé qui en voulait aux féministes d'avoir gâcher sa vie. Il a fait irruption dans une école et en a massacré plusieurs avant que de retourner l'arme contre lui-même.
Au Danemark, il y eut aussi ce fou furieux qui a ouvert le feu sur une centaine de militants socialistes. Le gus voulait sauver l'Occident et se croyait en croisade contre Dieu sait quoi.
Puis il y a eu le gars qui voulait tuer Pauline Marois et qui a plutôt enlevé la vie à un éclairagiste, brave homme et père de famille, qui ne demandait pas à crever sous les balles d'un malade mental.
En frais de psychopathes, nous sommes particulièrement gâtés ces dernières années.
Du dépeceur de Montréal aux djihadistes d'un jour, on en trouve de toutes les sortes par les temps qui concourent à rendre la solidarité et l'entraide plus importantes que jamais.
Tant qu'à vouloir devenir un héros, ils auraient pu songer à sauver des vies.
Ça ne leur venait pas à l'idée.
Leur ego était gros comme le coeur d'un arracheur d'ailes de mouches.
Pitoyables individus qui se complaisent dans leur caca et qui ne méritent peut-être pas d'être nommés.
Je ferai comme s'ils n'existaient pas.
Aujourd'hui et demain aussi.
Comme si j'étais le docteur Jivago, tiens, dans un monde qui fout le camp.
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