Il est toujours possible de livrer un conte en moins de deux. Mais cela finit par épuiser. Ce matin, j'aurais bien voulu vous raconter l'histoire de trois flics qui se sont faits foutre dehors de la police parce qu'ils buvaient comme des trous et ne respectaient pas leur quota de tickets à distribuer. Cependant je ne me sens pas la force mentale de leur donner des noms, de bâtir des dialogues, puis de décrire des situations parsemées de sacres et de blasphèmes antédiluviens.
Ce qui fait que je n'irai pas plus loin pour aujourd'hui.
Vivons. Vivez. Vis.
Enweille donc ! On veut des noms !!!
RépondreEffacer:-)