Mon père est mort le 1er août 1996. Ses funérailles ont eu lieu pendant le Grand Prix de Trois-Rivières. Je vous livre ici, en rappel, une lettre qui a été publiée dans Le Devoir et Le Nouvelliste. Ça s'intitule «Le Grand Prix de la bêtise».
C'est ma manière de lui dire, Pa, aujourd'hui, j'pense encore à toé. Pis hostie que j'te ressemble de plus en plus chaque fois que j'me r'garde dans l'miroir... Pis fuck le Grand Prix, Pa. Fuck Duplessis et leurs imitateurs. Fuck la dictature.
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RépondreEffacerYES ! Très bien, ton article. Chuis d'accord.
RépondreEffacerMerci madame Des Ocreries.
RépondreEffacer;)