Le maire Yves Lévesque ne mérite plus la confiance des citoyens de Trois-Rivières.
Il a prouvé à plusieurs reprises qu'il n'était que le maire de ceux qui pensent comme lui. Il n'a jamais été et ne sera jamais le maire de tous les Trifluviens.
Il a fait preuve de mépris envers les lois et les institutions qu'il est sensé représenter.
Si la ville tient un registre et que le quorum est atteint pour un référendum, on s'attend à ce que l'institution fonctionne normalement et que le référendum ait lieu. À moins que la magouille et la démocrasserie ne soient tellement généralisées qu'il n'est plus nécessaire pour personne de se déplacer pour signer quelque registre que ce soit, surtout à Trois-Rivières, qui semble devenir un no man's land au plan juridique.
Ici, comme en Absurdistan, on se fout des contraventions, des registres, des pétitions, des référendums et de la commission des droits de la personne!
On se fait des fêtes sans établir de budget, un chèque en blanc pour un 375e anniversaire qui prend des allures de cirque où le soleil ne luit manifestement pas pour les contribuables.
Néron contemple ses jeux et il s'émeut pour sa ville, sa belle ville qu'il voit bien plus belle dans ses rêves, avec de belles avenues tiens, et moins de malpropres aux idées subversives, puisque Néron aime autant tâter de la lyre que de l'idéologie.
Il n'y aura pas de dépassement de coûts pour les fêtes de César, c'est bien simple, puisqu'il n'y a pas de budget, ni de référendum, ni quoi que ce soit qui ressemble à une mesure de contrôle. L'État, c'est Lui... Comme pour Duplessis, sa règle c'est «toé, tais-toé!»
À Trois-Rivières, sous le règne de Yves Lévesque 1er, tout se fait dans l'ombre, sans transparence, sans démocratie.
Nous pouvons changer les choses à Trois-Rivières et ce changement se passera par la tête.
Nous avons besoin d'un maire qui soit vraiment le maire de tout le monde et non pas le maire de quelques-uns.
Je voterai pour André Carle, le 1er novembre prochain. Et je souhaite pour ma ville natale que tous ceux et celles qui ne votent jamais se déplacent en grand nombre pour du changement à l'hôtel de ville de Trois-Rivières.
Si les Américains ont pu se débarrasser de Bush, nous pouvons faire la même chose avec Yves Lévesque. Et croyez-moi, ça ne sera pas trop difficile si l'on s'y met tous ensemble, avec Facebook, l'Internet et toute l'armada technologique qui a facilité la victoire de Barack Obama.
À vos claviers, Trifluviens! Et aux urnes ensuite!
Yes we can!
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