jeudi 14 juin 2012

Une petite victoire des Trifluviens contre la corruption

Une première victoire des citoyens et citoyennes de Trois-Rivières qui combattent les fascistes de jardin qui disent que la démocratie nuit à l'avancement des grands projets.

La dernière fois que les citoyens avaient obtenu le quorum pour la signature des registres, les magouilleurs avaient divisé le projet en plusieurs petits montants pour ne pas avoir à affronter la démocratie. Votre humble serviteur avait produit une pétition adressée à l'ex-ministre des affaires municipales, Madame Ti-Pet-de-Vache elle-même. On m'avait envoyé chier, bien entendu. Comme tous les autres signataires du registre et de la pétition.

Il n'est pas certain qu'un référendum se tiendra à ce sujet. Je crains que ces tabarnaks de baveux bruns sales n'aient envie de magouiller encore, au mépris absolu de tous les contribuables, comme d'habitude. La bonté ça ne s'apprend pas en une seule nuit. Ce matin, ce sont encore les mêmes hooligans qui sont au pouvoir et qui décident par-dessus la tête de tout le monde en se foutant royalement du bien commun.

Cependant, le Québec traverse une crise sociale majeure cette fois-ci. De nombreux militants sont mobilisés partout au Québec, même à Trois-Rivières, pour lutter contre la dictature, le népotisme et la corruption.

On vous regarde agir mes hosties de pleins d'marde. Déchirez le registre rien que pour voir... Envoyez chier les signataires, comme la dernière fois, rien que pour voir... Je vous prédis une hostie de grosse manif de chaudrons et de casseroles devant l'Hôtel de Ville.

Les Québécois, tout comme les Trifluviens, ne sont plus à genoux. Le peuple a muté en cent jours. Il est maintenant rouge de colère et prêt à balayer le Québec de toutes ces raclures qui s'accrochent au pouvoir pour se remplir les poches.

C'est de nouveau le temps des fleurs. On ignore la peur et les lendemains ont un goût de miel.

Trois-Rivières et le Québec vont changer. La révolution est en cours.

2 commentaires:

  1. Il y a toujours une petite faille dans leurs patentes, s'agit d'y introduire la lame de son Opinel, zigonner un peu, puis laisser le torrent les emporter peu à peu dans une mer de boue où occupés à sauver leur peau ils vendront celles de leur compagnons de fortune ou d'infortune, c'est selon.

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  2. Oui, quel torrent boueux, démentiel, excrémentiel... Et bientôt le soleil, le ciel, l'arc-en-ciel... L'embellie s'en vient.

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