lundi 26 novembre 2018
Non je ne regrette rien
Chaque fois que j'ai quitté une job j'ai fait jouer cette toune à tue-tête. Ça s'est fait à CFOU dans le temps. Ça s'est fait au journal de rue Le Vagabond. Et ça s'est fait à mon ancien travail pour souligner en quelque sorte ma désapprobation de nombreux manquements à l'éthique et surtout à l'amour.
Ce n'est pas vrai que l'on doive travailler pour quelqu'un qui n'aime pas le monde autour de lui et le leur fait sentir par toutes sortes de manières très basses, très viles et surtout très lâches.
Il y en a des comme ça qui jouissent d'arracher des ailes de mouches en se croyant des mâles alpha...
Dès qu'ils sont devant un homme, ils tremblent comme des petites fiottes parce que leur vraie nature de larbin ne peut se permettre aucune forme de courage.
Finalement, comme dirait Diogène, le soleil rentre dans les écuries sans se salir. Mon âme est demeurée intacte. Ils n'auront pas réussi à tuer l'amour, l'espérance et la justice qui bouilliront toujours en moi jusqu'à la fin des temps.
À tous mes anciens collègues qui se reconnaîtront dans mes mots: je vous aime.
J'ai été le camarade de vos misères. Je les ai partagées. Je les ai vécues. Je les aurai combattues avec toute la ruse de Oscar Schindler.
Pour les autres, un examen de conscience s'impose.
Le respect est le maître-mot.
L'amour est à la base des relations humaines.
Personne n'aime les crosseurs.
Et moi, je sais pas pourquoi, tout le monde m'aime...
***
-On va te donner des bonnes références.
-Je n'ai pas demandé de références.
-Tu peux garder ton Iphone si tu promets de ne pas nous torcher sur les médias sociaux.
-Garde ton Iphone. Je vais garder ma liberté de parole...
-Est-ce que je peux parler?
-Non. Ça fait 15 ans que tu parles trop. L'heure est venue pour toi de faire ton examen de conscience.
***
Aimons-nous les uns les autres.
Et que les méchants deviennent bons.
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