Même les blogueurs les plus impénitents doivent parfois prendre des vacances.
C'est une question d'hygiène mentale.
Écrire trois cent soixante-cinq jours par année, c'est compréhensible.
Écrire trois cent soixante-six jours par année, c'est fou raide.
J'ai donc profité de l'année bissextile, hier, pour ne rien déverser sur mon blogue.
Je n'ai rien écrit.
J'ai plutôt fait du sport au grand air.
Je brûle de vous livrer un texte sublime qui trotte dans ma tête, mais je ne me sens pas prêt pour l'écrire tout de suite.
Il y a aussi cette opinion que je dois livrer sur telle ou telle connerie politique. Je peux facilement remettre ça à plus tard. Autrement mon sang s'échauffe et ça me met de mauvaise humeur toute la journée. Fuck la politique pour aujourd'hui.
Aujourd'hui, je vais encore rêvasser, si je trouve le temps.
Faites donc la même chose. C'est l'été calice!
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