J'écris sans difficultés. L'angoisse de la page blanche m'est inconnue. Par contre, je connais l'angoisse de la page noire. Tout ce que j'écris prend toujours la voie d'un roman-fleuve. C'est fou tous les mots que j'enlève à mes textes avant de les mettre en ligne. Prenons la présente épître électronique, par exemple. J'ai bien écrit quatre versions de plus de trois milles lignes pour finalement terminer avec ce paragraphe unique, ces six lignes ridicules... Tous ces mots que j'aurai écrit pour rien dans ma vie... Dont ceux-ci. Bon, aussi bien d'éteindre l'ordinateur si je n'ai rien à dire. À demain, lecteur, lectrice.
Welcome in my brain tomorrow.
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